Le plaisir des découvertes ou « The Future of Publishing »

De blogue en blogue, j’ai découvert ce matin une vidéo qui m’a ému, et ce faisant, j’ai aussi découvert le plaisir de bloguer. Ce billet, j’ai honnêtement envie de l’écrire… Grâce aux liens du groupe du cours dans Diigo, j’ai lu ce matin, le billet, La menace du numérique de la Grande-Dame, Jennifer Vary dont j’avais déjà exploré le blogue et dont j’admire l’écriture tout comme l’ensemble de son oeuvre.

Jennifer Vary se réfère pour amorcer sa réflexion, au billet d’une autre étudiante du cours, Aurélie Bélanger et c’est que j’ai découvert la vidéo en question qui avait été prise sur le blogue d’une autre blogueuse, Marie-Josée Gagnon que je suis aussitôt allée découvrir avec plaisir. Et, c’est comme ça, ce matin que j’ai saisi le plaisir de bloguer.

Je vous présente donc The Future of Publishing que vous devez regarder au moins jusqu’à la moitié et croyez-moi, une fois à ce point, vous voudrez continuer.

Quel excellent procédé! Les propos sont vraiment très éloquents à l’endroit comme à l’envers et la narratrice les rend très bien. J’ai donc voulu connaître l’origine de ce film. Il a été réalisé par Zoe Uffindel de Khaki films pour DK Marketing. Comme expliqué dans une entrevue sur le blogue du Groupe Penguin, le film a été inspiré par un autre The Lost Generation qui, lui-même, avait été inspiré par une publicité politique à la télé argentine. Le procédé fonctionne donc bien en espagnol, il faudrait bien l’essayer en français!

Si je laisse maintenant un peu le film pour commenter le futur de l’édition. Je crois bien, moi aussi, que l’édition numérique fera bon ménage avec l’édition traditionnelle, l’édition continuera d’évoluer et de s’adapter aux nouveaux marchés. Les livres demeureront aussi vivants que jamais. Plusieurs acteurs du milieu, tout comme les blogueuses citées ci-haut croient aussi en la coexistence de l’édition numérique et papier. Tout compte fait, les gens croient tellement en la coexistence des deux médias que je me demande pourquoi la question est si souvent posée et discutée. On prédisait bien la fin de la radio avec l’arrivée de la télévision. .

En terminant, je ne peux qu’apprécier avec délice les propos de Jennifer Vary quant à l’instantanéité vs la profondeur qui sont, selon elle, tous les deux bien nécessaires. Dans la vie, on n’a pas que des propos utiles et profonds et c’est la même chose pour la vie virtuelle. Le plaisir est dans la diversité et l’équilibre entre la légèreté, la pertinence, la profondeur, l’informatif et le ludique.